mercredi 13 avril 2011

FaBoGirl en temps de crise

Houlalala, quel sujet! LA CRISE!!
Qu'est-ce qu'on en a bouffé de la crise! Mais voilà les Zamis, je suis de retour et franchement, je ne vois pas d'autre terme pour qualifier l'état dans lequel je me sens aujourd'hui fortement, les autres jours de manières plus latente.
Déjà, je vous rassure, la crise c'est partout! Et la crise partout façon FaBo ça donne d'abord ça:
Un voyage au mexique et mes adieux à mon dernier jean encore mettable!!! Le derrière ne rentre plus...
Mais si, il rentre, je vous dit qu'il rentre moi!
CRAAAAACK!
Conclusion? Il ne rentrait pas!

Mais vous me direz, c'est pas grave ça encore, oui sauf que...
Dans le sud du Mexique où j'avais le plaisir de trémousser mon petit (ouais, bon bah ça va là!!) derrière, les femmes sont... comment dire? pas très grandes. Elles sont petites! et du coup pas moyen de trouver un jean correct à ma taille et non, le problème ce n'est pas le derrière, le problème c'est les jambes qui le portent. 

Mais j'entends les voix raleuses, jalouses et moqueuses : 
"Ouais, bah ça va, elle va pas se plaindre quand même, les caraïbes sans jean c'est pas non plus la mort!! les fesses à l'aire au soleil, y'a pire!!"

Oui, oui, mes Zamis, vous avez fort raison mais... et si c'était un signe???
Parce qu'une fois arrivée en France, à Paris (vous saviez qu'il fait froid à Paris???) bah... les fesses à l'aire c'est tout de suite vachement moins drôle. Et être obligé de supplier P'titemoma pour une petite ralonge histoire de couvrir mon derrière n'est pas non plus très agréable. Du coup, P'titemoma s'est remise aux jeans et c'est une grande réussite. 

Donc le pantalon était un signe? Oui, un signe très sérieux, je suis obligée de le reconnaître: la crise m'explose à la tronche: j'ai toujours de grandes envies, toujours de foutus gouts de luxe, sauf que je fais toujours une thèse, c'est balot n'est-ce pas? Et en plus, Tithom travaille dans une banque avec que des frimeurs qui se disent comme ça: "tiens, et si je fêtais mon anniversaire à Ibiza"
Moi je vis pas sur la même planète, je sais même pas où c'est Ibiza! Et mon derrière a beau adoré la fête et la musique y'a pas moyen qu'il vol pour aller se trouver le cocktail le plus cher d'Europe (c'est cher Ibiza??)!!

vendredi 1 avril 2011

Les joies de l'anthropologie 1



Du coup, je lis attentivement Marcel Detienne, Comparer l'incomparable, 2000, Paris, Seuil. Et ouais!